Avant le match, il semblait que les Français s’apprêtaient à jouer tranquillement. Cependant, la réalité s’est avérée complètement différente. Les Japonais, dirigés par Philipp Blain, bien connu en Pologne, incl. de travailler comme assistant de Stephan Antiga lorsqu’il était en charge de l’équipe nationale polonaise, ils ont mis des conditions très difficiles pour les champions olympiques.
Le premier set a confirmé la thèse d’une victoire en douceur pour les Français. Les champions olympiques ont rapidement construit une avance de quatre points (12:8), qu’ils ont contrôlée en toute sécurité tout au long du set. Les Japonais pouvaient se rapprocher des trois points (18h15), mais les Français ont finalement remporté le set 25h17.
Dans le deuxième set, les Japonais sont passés à la vitesse supérieure, ce qui s’est immédiatement traduit par un avantage inattendu en début de match (3:7). Les Français n’ont eu aucun moyen de se battre avec leurs adversaires pendant longtemps, mais ils ont finalement réussi à se rapprocher du point (11:12), si bien que les Japonais ont bondi de cinq points (12:17). Et alors qu’il semblait qu’ils garderaient cet avantage jusqu’à la fin du set, ils ont permis à leurs adversaires de se rapprocher de deux points (19:21) pour finalement gagner le set de quatre points (21:25).
Cela a irrité les Français. Les champions olympiques ont immédiatement commencé à se construire une avance (7:4) pour sauter même de cinq points (11:6). Les Japonaises ont patiemment essayé de jouer au volley-ball, et elles ont donc réussi à expier la défaite (16:16). Dans une finale passionnante disputée avec un avantage, les Françaises ont fait mieux, s’imposant 26:24.
Le quatrième set était presque une répétition du deuxième match. Les Français ont un peu baissé le niveau, les Japonais ont bondi à trois points (4:7) pour faire match nul en quelques minutes (10:10). Mais ensuite, l’équipe de Philippe Blain a montré une performance encore plus efficace, grâce à laquelle ils se sont construit une avance de cinq points (14:19). Les Français se sont lancés dans la poursuite, mais n’ont pu se rapprocher que de deux points (22:24), et ont finalement perdu le set 22:25.
Grosses émotions dans le tie-break ! Les Français étaient à un pied du tournoi
De manière inattendue, un bris d’égalité a dû décider de se qualifier pour les quarts de finale. Dans ce document, les fans ont de nouveau été témoins de scènes choquantes. En début de set, le Japonais s’est construit une avance de trois points (1:4). Les Français ont dû réagir immédiatement et ils l’ont fait de la meilleure des manières, en récupérant rapidement (5:5). Les Japonais n’ont pas pu faire face à la pression, à cause de laquelle ils ont commis de plus en plus d’erreurs. Ceci, en combinaison avec le bloc français, leur a permis d’obtenir un avantage sûr (11:9). Ngapeth, après avoir repoussé l’attaque japonaise, a eu une belle opportunité de quasiment sceller l’accès aux quarts de finale, mais une terrible attaque de la deuxième ligne lui a échappé et n’a fait marquer « que » 12:11 pour la France.
Dans une situation très difficile, les Japonais ont joué le bloc avec brio, menant à un match nul et un jeu dominant. Ngapeth a commis l’erreur fatale de hocher la tête sur la cassette sur le comptoir. Les Japonais ont donc eu une balle de match, mais Ishikawa a servi le filet. Grebennikov a brillamment sauvé le Français lorsqu’il a frappé un ballon difficile et l’a parfaitement placé sur le « kiwki » pour Le Goff. Les Français ont essayé de respecter leur service, mais Nishida a facilement brisé le bloc français. En réponse, Le Goff a claqué de l’intérieur.
Jouffroy a relevé le ballon d’une manière connue de lui seul et a ainsi donné à son équipe une chance d’attaquer sur la contre-attaque. Une telle opportunité n’a pas été gâchée par les champions olympiques, qui ont gagné 18:16 au tie-break et 3:2 dans tout le match. Ils ont ainsi atteint les quarts de finale du championnat du monde. Dans ce document, les adversaires des Français seront les Italiens, qui ont souverainement vaincu Cuba 3:1.
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