L’agence française AFP a rendu compte du procès. L’affaire est liée aux propos du réalisateur publiés dans « Paris Match » en 2019. Charlotte Lewis, qui a joué dans le film Pirates de Polanski en 1986, l’a accusé d’abus sexuels dans son appartement parisien en 2010. Cela devait se passer dans les années 1986. 1980, alors que l’actrice avait 16 ans.
En réponse, Polański a qualifié Lewis de « menteur » et de « bruyant » dans une longue interview accordée au magazine « Paris Match » en 2019. Il a également souligné des citations de sa conversation de 1999 avec le tabloïd britannique « News of the World », dans laquelle le l’actrice avait dit, entre autres, qu’elle « aimerait être votre maîtresse ».
Au cours de sa carrière, Polański a traité un certain nombre de poursuites liées à des crimes sexuels. Cependant, il n’avait jamais été confronté à un tribunal français à cet égard. Le réalisateur est toujours accusé aux États-Unis de viol en 1977 sur une adolescente de 13 ans. Plus tard, cependant, il a également été inculpé dans d’autres affaires.
En 2019, la photographe française Valentine Monnier a accusé Polanski de l’avoir violée chez elle en Suisse en 1975, alors qu’elle avait 18 ans et travaillait comme mannequin et actrice. La renommée de Polański s’est estompée à la suite du développement du mouvement MeToo, qui a secoué Hollywood. Les stars françaises en 2020 ont quitté le gala des Césars après que le réalisateur ait été récompensé pour le film « Un officier et un espion ».
« Créateur sympa pour les hipsters. Gourou de la musique. Étudiant fier. Mordu de bacon. Amoureux du Web passionné. Spécialiste des médias sociaux. Gamer. »