Le président français Emmanuel Macron a partagé ses opinions convaincantes lors de la réunion du Conseil des ministres. – Au fond, nous vivons à la fin d’une ère d’abondance, nous devrons en supporter les conséquences économiques. C’est la fin des produits et des technologies qui nous semblaient éternellement disponibles ; les chaînes de marchandises seront brisées (…) Nous devrons faire des préparatifs – a déclaré le politicien.

Pour lui, la crise affectera aussi la démocratie et affectera le climat de la Terre. De plus, des menaces complètement nouvelles telles que le cyber-risque se profilent à l’horizon.

Le président admet qu’en raison des changements imminents, les citoyens peuvent se sentir de plus en plus anxieux face à la question internationale et à la situation du pays.

Macron a mis en garde contre les populistes qui pourraient utiliser la situation actuelle pour accéder au pouvoir. – Face à tant de peurs et de défis, il est parfois facile de promettre et de tout dire. Ne cédons pas à ces tentations, aux tentations de la démagogie, a-t-il dit.

Morawiecki rencontrera Macron

Premier ministre Morawiecki rencontrera le président français Emmanuel Macron – a déclaré le porte-parole du gouvernement Piotr Müller. La visite de Morawiecki en France est prévue pour le 29 août. « Le Premier ministre Morawiecki se rend à Paris, où il rencontrera le président Emmanuel Macron », a déclaré le porte-parole du gouvernement sur Polsat News.

Les discussions porteront sur la situation en Ukraine et l’invasion russe. – Nous convaincrons le président français d’appliquer de nouvelles sanctions. La question de l’énergie sera également abordée, par exemple, en termes de changement de la politique ETS (European Emissions Trading System – ndlr) et de la politique énergétique – a-t-il expliqué.

Le politicien a ajouté que les relations franco-polonaises sont maintenant bonnes, mais a admis que la France dépendait du gaz russe depuis des années. « En ce moment, ils subissent un traitement de choc, c’est-à-dire des prix élevés du gaz et d’autres vecteurs énergétiques », a-t-il déclaré.

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