En France, l’écart de richesse entre les habitants des différentes régions du pays se creuse. Il y a des villes où les riches deviennent plus prospères et d’autres où les pauvres s’appauvrissent. Ce sont les résultats d’une étude de l’Observatoire français des inégalités sociales.
D’ici trois ans revenu les habitants les plus riches des banlieues ouest de Paris ou d’Annecy, situées dans les Alpes, ont augmenté de quatre mille cinq cents euros. Dans le même temps, à Limoges, Tarb dans les Pyrénées ou Perpignan, les plus pauvres gagnent mille euros de moins.
Les personnes les plus pauvres vivent en Corse, dans le Languedoc et dans le Nord-Pas-de-Calais, situés sur la Manche, dont la capitale est Lille, culturellement dynamique. Le pourcentage le plus faible de personnes en situation de pauvreté se retrouve en Bretagne et dans les territoires situés dans les Pays de la Loire.
Les statisticiens et les économistes fixent le plafond de pauvreté à 781 euros par mois. Dans les grandes agglomérations, cela représente près de 20 %. habitants, soit six de plus que dans toute la France. Les recherches montrent que, contrairement aux stéréotypes, les banlieues ne sont pas aussi pauvres que certaines zones rurales. Cependant, ce tableau dressé par les statistiques est quelque peu trompeur, car il existe des enclaves riches reliées aux grandes villes, où, pour le prix d’un appartement d’une chambre dans ces banlieues pauvres, vous pouvez acheter une maison impressionnante.
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