Benoît Paire dispensed with at Wimbledon: « The sport I hate the most right now »

Battu lundi au tour principal par son compatriote Quentin Halys (4-6, 6-1, 6-2, 6-4), Benoît Paire s’est confié sur sa détresse et a donné un sens au cycle qui consistait à faire appel au soutien sur le plan mental. « Au moment de l’averse, vous aviez récemment remporté le premier set 6-4, vous sembliez en bonne forme. Quoi qu’il en soit, lorsque vous avez continué, vous avez commencé à converser une tonne et à vous enfoncer régulièrement. .
J’ai eu une indépendance vraiment courte. 35, quarante minutes, sur le plateau principal. J’ai probablement joué trois longues périodes et demie de tennis depuis Roland-Garros. J’avais récemment fait deux réunions pédagogiques sur l’herbe peu de temps avant de me présenter. Je me suis rendu compte que ça aurait été compliqué. Je suis allé au Milan Challenger (sur terre) la semaine dernière, j’ai bouclé trente minutes et j’ai arrêté (abandon à 6-7) car je n’étais pas super dans ma tête. Je me rends compte qu’ici, ça aurait été une pièce de présentation gênante mais il y avait une dépense minime à prendre et ça peut très bien être génial. Il y avait un examen décent pour les bribes au deuxième ou au troisième tour. Ce n’est pas assez bon pour ça. Vous parlez intentionnellement d’une « présentation ». Le manque de focus ATP, allant à l’encontre de la norme, aurait-il pu vous aider à améliorer la méthodologie de cette compétition ?
Pas même. Dans une plus large mesure, un état psychologique que j’ai depuis un certain temps. Une aversion pour le tennis. Je vois des gens pour ça. Je voulais. J’examine avec des experts dans ce domaine, je fais un renvoi de ce jeu. Ça me fait peur quand je vais sur le court. Récemment, à chaque fois que j’y mettais les pieds, j’avais envie de décoller, donc c’était inutile d’y aller.

C’est la raison pour laquelle depuis Roland-Garros, je n’ai vraiment pas beaucoup joué. Au moment où je me retrouve sur un court, j’ai des boules de nervosité. Ce qui s’est passé aujourd’hui (lundi) n’est pas surprenant. J’essaie de tourner surtout pour l’avenir, d’essayer de dénicher un petit morceau de plaisir sur un court.

« En tout cas, pour un affichage à 60 000 euros, pour être tout à fait honnête, je viens, quoi qu’il arrive, peu importe que je sois incité à ne pas y aller. du temps libre du tennis, mais vous êtes venu à Wimbledon… C’est ce que les gens que vous conseillez vous ont recommandé ?
En tout cas, pour une présentation à 60 000 euros, je viens, à vrai dire, quoi qu’il arrive, qu’on m’exhorte ou non à ne pas y aller. Surtout, j’ai baragouiné, j’essaie d’avancer, de me débarrasser de ce truc, comme j’adorais le tennis avant, j’aimais ces clichés d’effort, être sur un court, mais en ce moment je n’ai vraiment pas une vision décente de moi-même et tenter de s’améliorer.
Quels « individus » voyez-vous ?
Clinicien et inducteur de transe. Je vois quelques groupes, car je suis vraiment désemparé dans ma vie en ce moment. C’est la raison pour laquelle j’avais besoin de prendre du temps pour essayer de retrouver une préférence pour ce jeu. Je l’ai adoré et actuellement je ne peux plus le supporter. C’est difficile de se retrouver dans cet état quand on est sur un court. C’est la raison pour laquelle je suis intervenu et j’ai contacté ces personnes. Je n’en avais jamais ressenti l’exigence, pourtant puisque je n’étais pas capable de le faire toute seule… Ça ne porte pas encore ses fruits, mais c’est plutôt sur le long terme que ça passe.

« Pour quelle raison cela me fait-il si peur pour le moment ? »

Cette horreur du tennis dont vous parlez, est-elle venue petit à petit ?
Nous essayons de trouver ce qui a été le déclencheur. Au moment où je me remémore ces matchs concentrés à Buenos Aires, alors que je roule 40-0 et que j’ai un succès fou à faire ( 4-6, 6-4, 7-6 malheur [3] contre Lajovic en février ) , ou quand je mène 6-2, 5-2 contre Koepfer ( 2-6, 7-5, 6-4 malheur à Indian Wells en mars )… C’est un mélange de choses que, dans ma tête, j’ai terriblement sentiments quand j’entre dans un tribunal car j’y pense beaucoup.

A un certain moment, j’étais à zéro sur douze en focus de match… Je ne pourrais plus jamais terminer un match, servir pour un set. Constamment, il frappe fort sans faute. Roland-Garros (section déroute contre Ivashka), c’était dans la démesure. Le tennis est le jeu que j’aime le plus sur la planète, pourtant c’est celui que je ne supporte pas le plus en ce moment.

Lazare Abraham

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