Selon la déclaration publiée La République en marche (LREM) et son groupe allié le MoDem ont obtenu 32,32 pour cent. vœux. On estime que ces partis peuvent compter sur 400 à 445 sièges sur les 577 membres de l’Assemblée nationale.
C’est vrai, c’est Le Parti républicain arrive en deuxième position avec 21,56 pour cent. vœux (ce qui pourrait se traduire par 70 à 130 sièges), et l’extrême droite Le Front National (FN) arrive en troisième position avec 13,20 pour cent. vœux.
Le parti de gauche radicale France Indomptée (LFI), dirigé par Jean-Luc Mélenchon et le Parti communiste français (PCF), a obtenu 13,74 pour cent. vœux.
Les groupes environnementaux arrivent en dernière position avec 4,30 pour cent. soutien.
Un Français sur deux n’a pas voté
L’absentéisme lors du vote de dimanche a atteint un niveau record et a atteint 51,29%, selon un communiqué du ministère de l’Intérieur.
Emmanuel Macron, dont le parti a remporté une « victoire écrasante », a conquis et « fait exploser » le système politique français – dit Paul-Henri du Limbert dans le quotidien « Le Figaro ». Il met cependant en garde contre une « illusion d’optique » car « l’avantage écrasant en termes de sièges est dû (à Macron) à l’effet de levier du vote majoritaire à deux tours, plutôt qu’à la mobilisation de l’électorat ». Le commentateur souligne qu’un Français sur deux n’a pas voté.
Macron n’évitera pas de répondre aux questions
« Le président n’évitera pas de répondre aux questions que se pose la société sur les prétendus bienfaits de l’immigration de masse et du multiculturalisme », souligne le journaliste, qui rappelle que le « Front national » d’extrême droite et populiste prospère grâce à ses échecs ultérieurs (sur ces questions). ). ) de droite et de gauche. »
Dans le même numéro du Figaro, Guillaume Tabard écrit que «« Le président a détruit l’ancien système, mais il n’a pas encore complètement conquis le pays. ». L’éditorialiste est d’accord avec les hommes politiques qui estiment qu’« après le tremblement de terre qu’a été l’élection du président, il y a eu une répétition (sous forme de) élections parlementaires« .
Tabard rappelle cependant le triomphe de la droite après l’élection de Nicolas Sarkozy à la présidence en 2007 et le résultat un peu moins bon des socialistes il y a cinq ans, après l’élection de François Hollande. Le commentateur conclut que même si le succès d’un si jeune parti LREM, qui n’a même pas deux ans, est exceptionnel, en général « nous adhérons au scénario classique de confirmation (de victoire du parti du président) ». « Cela ne signifie pas un passage unanime au macronisme », ajoute-t-il.
La force du parti de Macron réside dans la faiblesse des autres partis
« La République en marche est forte, la faiblesse des autres partis » et le président Macron devrait tenir compte de cet avertissement, note Tabard. Il souligne qu’« avant que les Français croient (en la politique) à nouveau, ils veulent des résultats concrets ».
Comme de nombreux observateurs intervenus à la radio et à la télévision depuis dimanche, les chroniqueurs du quotidien « Le Monde » soulignent que « Un absentéisme record jette une ombre sur la légitimité du vote ». Ce type de critique a été condamné, entre autres, par le commentateur Jean-Michel Aphatie, pour qui une telle réflexion revient à « remettre en question les principes de la démocratie ».
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