La résolution souligne la politique dévastatrice des autorités chinoises à l’égard des Ouïghours : travail forcé, surveillance généralisée, torture, violences sexuelles ; violations systématiques, internement massif, politiques de stérilisation forcée et massive, éradication de la culture et de l’identité ouïghoures, séparation des enfants de leurs familles.
« Ces éléments, désormais largement documentés (…), démontrent l’intention de détruire l’identité ouïghoure, les liens sociaux et intergénérationnels et, plus largement, de détruire la destruction culturelle et biologique des Ouïghours », écrit-il.
Pékin nie systématiquement ces accusations, justifiant sa politique envers les Ouïghours par des actions contre le terrorisme.
Katarzyna Stańko (PAP)
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