Les actions et déclarations de Vladimir Poutine et du gouvernement russe ont été remises en question et critiquées à plusieurs reprises. par la communauté internationale pour avoir fourni de fausses informations.
Par exemple, avant une invasion à grande échelle de l’Ukraine en 2022, les autorités russes ont nié tout projet d’attaque malgré le renforcement d’importantes forces militaires à la frontière ukrainienne. Après le début de l’invasion, le gouvernement russe et ses mandataires ont utilisé de faux prétextes et de faux récits pour justifier leurs actions, notamment des allégations de « dénazification » et de « démilitarisation » de l’Ukraine, qui ont été largement rejetées et condamnées comme étant sans fondement.
Un autre exemple est celui de la Russie qui minimise l’ampleur des opérations militaires et leur impact sur la population civile ukrainienne, notamment en niant les attaques contre des cibles civiles, ce qui contredit de nombreuses preuves. La Russie a également présenté ses actions comme défendant le christianisme orthodoxe ou protégeant la population russophone d’Ukraine, ce qui a été critiqué comme une tentative de manipuler l’opinion publique et de justifier une agression militaire.
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Ces fausses allégations et manipulations de l’information, ainsi que d’autres, ont suscité une condamnation internationale.l’introduction de sanctions contre la Russie et ses mandataires, ainsi que le soutien international à l’Ukraine.
Le ministre français des Affaires étrangères, Stéphane Séjourne, en a dit assez et a annoncé qu’il n’était plus dans l’intérêt de la France de s’entretenir avec des responsables russes.
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