La justice française a libéré Isaac Lesak sur parole

Le La justice française a accordé la libération conditionnelle au prisonnier de l’ETA Izaskun Lesakqui est derrière les barreaux depuis octobre 2012 et est en phase finale de sa peine et sera bientôt expulsée vers l’Espagne, où elle n’a aucun problème non résolu.

Son avocat Maritx Paulus Basurco a expliqué ce vendredi qu’Efe a expliqué que le Cour d’Appel de Paris hier, le recours du procureur anti-terroriste contre la libération conditionnelle a été rejeté afin qu’elle puisse théoriquement être exécutée à partir du lundi 23 prochain.

En pratique, cependant, il faudra peut-être encore quelques jours à l’administration française pour organiser leur expulsion avec les Espagnols, compte tenu, entre autres, du fait que est détenu dans une maison d’arrêt de la région parisienne, précise l’avocat.

Dans son cas, son renvoi vaut expulsion de France car elle a été condamnée à ne pas revenir définitivement sur le territoire français.

Lesaka, qui a 44 ans, En France, elle a été condamnée à quatre reprises et en 2018, elle s’est vu infliger une soi-disant « fusion » de toutes les peines, ce qui signifiait en pratique qu’elle devait passer 14 ans derrière les barreaux, même si elle pouvait postuler avant cette période. 2019- son départ sous conditions, et c’est ce qu’il a fait.

Quoi il n’y a pas de procédure judiciaire ouverte dans l’État espagnolvous resterez libre et ne subirez aucune restriction de vos droits au-delà de l’interdiction d’entrée en France.

Izaskun Lesaka a été capturée le 28 octobre 2012 dans un hôtel de Mâcon (nord de la France) avec Joseba Iturbide, qui devait devenir son mari en prison.

Ils avaient alors en leur possession sauf deux pistolets à ballesun certain nombre de fausses pièces d’identité, des documents internes de l’ETA, près de 14 000 euros en espèces, une voiture volée et divers composants pour la fabrication d’engins explosifs.

Dans un procès où ils ont tous deux été reconnus coupables de ces événements en février 2018, le ministère les a accusés de ne pas avoir mis fin à la lutte armée de l’organisation terroriste, annoncée un an avant sa mort, à cause de tous ces éléments. arrêter.

Cependant, ils ont affirmé que lorsqu’ils se cachaient de l’arrestation, ils étaient déjà impliqués dans le processus de désarmement.

Alaire Boivin

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