La tension monte à l’approche des élections en France. L’enquête apporte une mauvaise nouvelle pour Le Pen

220

C’est le nombre maximum de sièges sur lequel l’Union nationale peut compter après le second tour – selon une étude de Harris Interactive

Thévenot elle-même est sortie indemne de l’attaque, mais son adjoint et l’un des militants du parti ont été blessés. La porte-parole et ses collègues ont été agressés par une dizaine de jeunes qui détruisaient des affiches électorales, rapporte « Le Parisien ».

Le chef du ministère de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé que quatre personnes avaient été arrêtées en lien avec l’attaque contre la porte-parole du gouvernement.

Marie Dauchy, candidate du Rassemblement national, affirme également avoir été agressée : dans son cas, l’attaque aurait été perpétrée par une vendeuse.

30 000 policiers maintiendront l’ordre dans les rues le jour du scrutin. Le vote est défavorable au parti de Marine Le Pen

Darmanin a annoncé que dimanche soir, après le vote, 30 000 personnes seraient envoyées dans la rue pour maintenir l’ordre dans le pays. Des policiers, dont 5 mille, patrouilleront dans les rues de Paris et de ses environs. La police doit veiller à ce que « l’extrême droite et la gauche radicale » ne profitent pas de la situation pour semer le chaos.

Le sondage réalisé mercredi par l’Institut Harris Interactive pour le magazine « Desafios » indique que l’Union nationale – après la formation du front républicain – remportera 190 à 220 sièges. Les Républicains de centre-droit ont une chance de remporter 30 à 50 sièges. Cela signifie que le Rassemblement National, même avec le soutien de certains Républicains, n’aurait pas de majorité.

Alaire Boivin

"Ninja typique de la télévision. Amoureux de la culture pop. Expert du Web. Fan d'alcool. Analyste en herbe. Amateur de bacon en général."

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *