Le Mexique est un ouragan ; a battu la France lors de ses débuts à Tokyo 2020

Volcans mexicains, ouragans, choléris. Edward Elric a massacré Père après avoir avalé le soleil levant. El Tri a remis ses lettres de noblesse et a secoué la France de Gignac et Thauvin lors de ses débuts au tournoi olympique de football de Tokyo 2020. Il est impossible de ne pas ressusciter l’heure de Londres. Les médailles sont encore à quatre matchs, mais les couleurs sont très similaires à celles d’hier.

Bouclier/France de France

Le Mexique a enlevé le corset alors que Sánchez et Lainez ont forcé Caci et Kalulu. Jusque-là, rouille et trac. L’arrière-garde française a perdu ses dents et ses sabots, sans être verbeuse, maladroite et sèchement efficace. Une lacune que Père et Lainez ont détectée. Puis Lainez a accéléré en diagonale sur le front français, imitant Ignacio Zaragoza galopant devant Puebla et pointant son épée vers Alexis Vega, qui préférait attaquer seul la caserne adverse plutôt que par la prairie laissée sans surveillance. Bientôt Lainez se venge : il sépare les eaux de la Manche, Sagnan et Caci sont échoués dans les flots féroces, mais Bernardoni ferme la rade.

Photo de Diego Lainez

Avec Gignac escorté par la Garde prétorienne, la France s’est confiée à Tousart, le métronome de l’Orchestre symphonique de Berlin, et à Michelin, un TGV à grande vitesse capable de voyager de la Côte d’Azur à la mer du Japon dans la durée du fausset d’Edith Piaf. Une tête sournoise de Gignac, qui a audacieusement reproduit le portrait de Casillas Van Persie en 2014, a forcé le premier vol atomique d’Ochoa. La seconde, la main pour déplacer l’obus de Nordin. Réponse rapide : Sánchez a pensé à décocher la pause de Martin ; L’avant-garde mexicaine s’est déployée sur le croissant, Vega a été aidé par Henry et Córdova a récupéré le ballon de lui. Le Mexique a tissé plus facilement pour accompagner la dernière barre de la première mi-temps : 45 minutes de pauses fluctuantes et d’échanges.

Le Mexique sort d’un vestiaire imbibé d’énergie nucléaire. El Tri est un typhon. Parmi les vents imparables, Lainez a coulé Caci, divisant les eaux de la baie de Tokyo, et Vega, malgré Michelin, a fait une tête d’arts martiaux pour assommer Bernardoni. Le gardien devient aussitôt prisonnier d’opinion devant les murs de Kenpeitai : Martin prend d’assaut le pays de Kalulu et Vega ordonne de commencer l’exécution ; Quelques secondes plus tard, le même attaquant bleu crème a battu Kalulu dans un duel de judo, mais Bernardoni a tiré son coup sans effort. Aucun corps ne peut résister à de tels éclats : Alors que Vega attaque Kalulu, Rodríguez voit Córdova, qui attend seul sur les pentes du mont Fuji. Sebastian garde une peau dans l’appartement impérial avec des pétales de fleurs de cerisier.

Diego Lainez est un cauchemar pour la défense française

La France déborde. Tousart, le seul barrage de retenue, s’est fissuré sous les tourbillons de Lainez, Vega et Rodríguez. Et Thauvin, un résident bien connu de San Nicolás de los Garza, est une âme perdue. Lorsque l’élève de Ripoll a disparu sous l’eau, Kolo Muani a attrapé Montes et l’a emmené avec lui dans l’inondation. Chris Beath n’a pas pardonné la négligence du défenseur mexicain et le tir amical de Gignac a entrevu un moyen de sauver son naufrage. Le bras d’Ochoa simule la courbure de la tour de Tokyo et le ballon passe à travers l’espace. C’était un mirage, bien sûr.

Gignac photo

Antuna, hyperactif depuis son attaque, a annoncé ses intentions d’un tir du pied droit de Vega, un train à grande vitesse sur la pelouse du Tokio Stadium. Antuna ne perd pas une seconde chance : il devance Caci et Sagnan et son tir touche le poteau droit de Bernardoni. Aguirre, le hurleur silencieux, orne le tableau de bord à la satisfaction de Bard, un mexicain intrus dans les rangs français. C’est vrai. La Marseillesa est silencieuse à Tokyo, étouffée par un violent typhon mexicain.

Classification

groupe A

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polypropylène

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Lazare Abraham

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