L’initiative libérale vise à favoriser la « politique de dépendance aux subventions » dans la zone de libre-échange de Madère – DNOTICIAS.PT

Dans le dernier communiqué du Comité de coordination de l’Initiative libérale à Madère, le parti pointe la préférence pour une « politique de dépendance aux subventions » par rapport à la zone franche de Madère.

L’Initiative libérale rappelle que le fisc a « commandé » une étude du rapport coût-bénéfice de la zone franche de Madère à la Faculté d’économie de l’Université de Coimbra. L’allumette explique que l’idée demeure qu’une « étude soit commandée » afin d’évaluer les effets de la fermeture de la zone franche.

Nous sommes surpris que l’évaluation des coûts soit effectuée uniquement sur la base de l’analyse de l’IBC dans son état actuel, indépendamment des avantages sortants, futurs et stratégiques. En d’autres termes, regardez ce qui se passe avec le CINM aujourd’hui, comme si la dépendance aux humeurs de la Commission européenne et du gouvernement portugais était un problème structurel et éternel, et non un problème qui peut être surmonté pour que ZFM fonctionne pleinement et réponde à tous ses objectifs.

Le parti estime que dans le cas d’une étude qui « coûte ce qu’elle coûte », elle laisse beaucoup d’exigences à certains égards, comme « la comparaison quasi inexistante qu’elle fait avec les petites économies insulaires européennes, aux activités concurrentielles très performantes (Jersey , Guernesey, île de Man, Malte) ». Il note en outre que l’évaluation RUP n’est pas mal conçue, mais « est toujours utilisée d’une manière qui convient à l’étude et n’est jamais utilisée lorsqu’elle conteste les conclusions » auxquelles sont parvenus les auteurs de l’étude.

Nous sommes face à une commande politique claire qui s’oppose ou du moins ne valorise pas assez : le développement économique et la création de richesses. L’alternative à la zone de libre-échange proposée par l’étude s’appelle : la subsidiodépendance. Pour cette seule raison, elle doit être rejetée sans équivoque. Subventionner des entreprises enfreint les règles des « aides d’État », un argument utilisé par la Commission européenne pour ouvrir le processus CINM, qui permet à de nombreuses entreprises de retourner IRC

L’Initiative libérale explique que cette étude « laisse en l’air quelques questions » sans réponse, comme par exemple : quelles entreprises auraient accès à ces subventions ? Qui déciderait de votre rôle ?

Malgré la réaction affirmée du premier ministre face à l’étude en question, en la rejetant, nous pensons que bien d’autres subventions seront vues d’un très bon œil par ses collègues. Plusieurs millions de plus seraient répartis entre les communes

Le Comité de Coordination de l’Initiative Libérale explique que lorsque l’étude met « sur la table la continuité du modèle actuel » de la zone franche, voire lorsqu’elle évoque la « possibilité d’en créer un autre », l’étude le fait sans aucune conviction car elle « ne dévoile pas ce qu’il faut faire de ceux qui travaillent directement dans l’ICM, ni de ceux qui le font indirectement, et parle de la subvention comme d’un moyen de compenser la perte de revenus.

Le Centre du Commerce International de Madère est un instrument de développement régional avec une reconnaissance institutionnelle. Il fait partie du Statut politico-administratif de Madère dans son article 146, le Statut, qui a une valeur paraconstitutionnelle et intègre la structure des droits fondamentaux du pays. Quelle est la compétence du bureau des impôts pour commander des études visant à conclure quelque chose qui est inclus dans la loi fondamentale du pays ? Seule l’Assemblée républicaine a le pouvoir d’examiner ce qui est inscrit dans la constitution et les statuts politico-administratifs. Personne d’autre.

Le parti affirme que pendant les « 46 ans des grands gouvernements orange », rien de significatif n’a été produit autre que le Centre du commerce international de Madère comme « outil de développement de la monoculture touristique ». L’Initiative libérale dit que « le gouvernement n’a jamais été disposé à l’arroser, à le nettoyer des mauvaises herbes qui ont entravé sa croissance et l’ont caressé ». Les libéraux, quant à eux, estiment que « l’empire rose, à la fois local et national », a fait encore moins.

La zone libre marche d’Hérode à Pilate et de Pilate à Hérode, perd son temps en accusations inoffensives, tombe dans l’habituelle conversation vide et vide de sens, démontre à Bruxelles une dispute au lieu de l’unité. L’initiative était un peu plus qu’aucune

A la fin du communiqué, l’Initiative libérale explique que « les intentions de limiter notre capacité à diversifier l’économie et à nourrir l’autonomie, qui ne cesse de s’étendre à la république, sont de plus en plus audacieuses ».

Notre autorité morale n’existe pas à cet égard. Localement, nous faisons la même chose : au lieu de créer les conditions juridiques, formelles et structurelles qui permettent le développement des entreprises, la politique de dépendance aux subventions est privilégiée. Alors n’y allons pas

Henri Jordan

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