Nouvelles de Santos et Baixada Santista

La durabilité est l’un des principaux points de l’événement, qui sera abordé lors du 1er séminaire franco-brésilien, qui aura lieu les lundi (9) et mardi (10) à Unisante. Pour résoudre ce problème, VLI, l’un des partisans et participants, parle de l’importance de la durabilité dans le processus de transport de marchandises.


Le thème du 1er séminaire franco-brésilien est « Le transport de marchandises en 2050 ». L’événement est organisé par l’Universidade Santa Cecília et le Sistema Santa Cecília de Comunicação en collaboration avec le Consulat général de France à São Paulo.


Parmi les engrais, le sucre et les céréales, la manutention des marchandises au terminal VLI représente environ 13 millions de tonnes par an. Cet endroit est responsable de 23% du soja et du maïs exportés par le Brésil et aussi de 22% de tout le sucre exporté via le port de Santos.


Tiplam (Terminal Integrador Portuário Luiz Antônio Mesquita), intégré au Central Atlantic Railway, forme le corridor centre-sud-est du VLI, l’une des principales routes de commerce extérieur du pays.


Par conséquent, l’une des priorités de VLI est l’efficacité dans la création de la durabilité. Denilson Fernandes est responsable de ces processus et explique la surveillance des trains.


« Ce système de gestion VLI n’est rien d’autre que la génération d’indicateurs qui nous orientent sur l’évolution de nos performances. Donc c’est possible dans le suivi au jour le jour, on fait des analyses, on conçoit des actions pour mettre en place des solutions logistiques innovantes et transformatrices », explique-t-il.


Le 1er séminaire franco-brésilien, qui aborde dans ce numéro le thème du transport de marchandises, sera pour lui un moment d’échanges d’idées et d’esquisses de stratégies.


« Nous avons nos terminaux d’intégration dans le pays, qui reçoivent les céréales et le sucre de la zone centrale du pays, et nous nous concentrons là-bas pour charger les trains. Ces bornes sont alimentées en électricité. Ainsi, toute consommation d’énergie est mesurée et on vérifie si je consomme de l’énergie d’une manière qui produit des produits, c’est-à-dire si je n’échange pas d’énergie inutilement. Alors, comment le maximiser ? J’ai un système de surveillance qui garantit une production maximale de ces actifs afin que j’y ai la meilleure consommation d’énergie possible. Notre modèle de gestion VLI est un guide sur la manière dont nous allons atteindre nos objectifs à court, moyen et long terme », conclut-il.


Henri Jordan

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