Six Nations, nouvelles du quatrième jour

Cela commence vendredi soir avec les leaders et la France invaincue sur le podium à Cardiff. Azzurri de nouveau à Olimpico contre l’Ecosse samedi et une belle fin à Twickenham avec un match intérieur ou extérieur entre l’Angleterre et l’Irlande

Le Tournoi des Six Nations 2022 est désormais un défi limité trois candidats avec La France aux commandes à 14 ans, le seul encore invaincu et qui pourrait clôturer avec un titre qui manque depuis 2010 et aussi un grand chelem, alors que pour Irlande (11 points) Angleterre (10) devra espérer un faux mouvement de la part de Zaalp, mais en même temps ne pas se tromper sur son le samedi à Twickenham, dans le match qui clôt la quatrième journée à 17h45. Le tour, qui commence tôt vendredi soir à 21 heures avec un match de Cardiff entre le Pays de Galles et la France. Pendant ce temps, samedi à 15h15, le deuxième défi à domicile et une belle occasion de faire avancer l’ordre enL’Italie contre l’Ecosse, tous deux effectivement coupés du jeu. Bien sûr, vous pouvez regarder tous les matchs en direct sur Sky Sport.

La France imparable. Est-ce l’équipe la plus forte de la planète ?

Telle est la situation au tableau, la dernière journée de force française se confirmant sur le Murrayfield à 17h36. Certainement un moment clé en fin de première mi-temps, lorsque l’Ecosse risquait de marquer avec Hogg et se retrouvait plutôt au nom de l’extension Fico. Cependant, Galletti a aussiaffecté la stabilité, avec une meute d’hommes capables de conquérir et faire avancer les balles et permettre ensuite à Half Dupont de jouer rapidement et facilement, aussi bien avec initiative personnelle qu’en première ligne. L’équipe, qui a également stupéfié l’ancien nationaliste français Abdel Benazzi et forcé le vieux capitaine écossais John Barclay à dire qu’à l’heure actuelle Les Zaalpins sont les plus forts du monde, c’est-à-dire devant des monstres sacrés comme les All Blacks de Nouvelle-Zélande et les champions du monde d’Afrique du Sud. Compte tenu du côté italien, ils se sont naturellement tournés exactement vers le championnat du monde national, qu’ils accueilleront l’année prochaine et qu’ils tenteront de ramener à la maison après la déception de la défaite en demi-finale contre l’Angleterre en 2007 à Paris. E ils pourraient aussi soigner l’ailier Gabin Villière au prochain défiqui, avec son compatriote Damian Penaud, est actuellement le métaman du tournoi avec trois scores personnels.

Pas de panique en Angleterre

Des compliments particulièrement riches à son collègue Eddie Jones, l’entraîneur du sélectionneur mondial 2003, Sir Clive Woodward, qui a souligné que l’Angleterre durement éprouvé en seconde période contre le Pays de Galles, mais en même temps, elle n’a jamais paniqué et n’a jamais eu le sentiment que les destins pouvaient changer. Tout cela malgré une première domination 17-0, encore une fois inspirée par Marcus Smith, le meilleur buteur de ce Six Nations avec 48 points. Les buts d’Adams et Tompkins ont ensuite ramené les Gallois à distance, mais au moment le plus favorable, le Draco a de nouveau trahi la discipline, avec Smith deux coups de pied à 23-12 devant un but à la fin de Hardy, qui a fixé le match. à 23h19 avec le Pays de Galles déçu par la défaite malgré trois buts marqués au total.

Une lutte sans histoire ni émotions

Sans histoire du 19′ enfin la dernière rencontre entre Irlande e Italie. Les Azzurri ont presque immédiatement perdu le pied de Lucchesi et à ce moment son remplaçant Faiva (suspendu 4 semaines) a écopé d’un carton rouge. Et comme si cela ne suffisait pas, en raison de la réglementation, l’Italie n’a joué aucun gros plan lors du premier duel, lorsqu’elle a voulu mettre Nemero à Bruno et en même temps a dû éliminer Halafihi et jouer pour presque une heure à 13 contre 15 et même à la 12e après un carton jaune dans les dernières minutes à Steyne. Un résultat 57-6 qui ne montre qu’un match inégal à l’Aviva Stadium, avec des critiques peu sympathiques à l’Irlande et soulignant plutôt la performance courageuse de Lamar et de ses compagnons.

Rendez-vous vendredi soir au début d’un autre grand week-end de rugby.

Célestine Marion

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