Dans son allocution, Macron a appelé, entre autres,à l’intérieur. construire des compromis à la chambre basse du parlement. Le président français a déclaré qu’il avait consulté les dirigeants de l’opposition ces derniers jours et qu’aucun d’entre eux n’avait accepté de former un gouvernement d’union nationale.
Je pense que cette solution serait injustifiée. Cependant, de nombreux politiciens ont exprimé leur volonté d’agir sur diverses questions. Dans la situation difficile actuelle, je crois que nous pouvons réunir une majorité claire pour agir
– a déclaré Emmanuel Macron. Il a demandé aux dirigeants de l’opposition d’identifier des projets spécifiques qu’ils peuvent soutenir. Macron a déclaré que les législateurs devaient d’abord traiter les projets de loi pour augmenter le pouvoir d’achat et réparer le système de santé.
Emmanuel Macron : J’accepte la volonté de changement
Le président de la France est d’avis que élections parlementaires a montré de profondes divisions dans le pays. « J’accepte la volonté de changement exprimée par les citoyens », a-t-il déclaré.
« Le président est faible, mais l’Assemblée nationale est forte », a commenté le leader de gauche Jean-Luc Mélenchon à propos du discours présidentiel. Il a appelé la Première ministre Elisabeth Borne à demander un vote de confiance et à se retirer en cas de défaite. Le centre-droit et les nationalistes, pour leur part, ont reconnu que le discours de Macron était moins arrogant qu’auparavant, mais l’ont accusé de ne pas avoir présenté de propositions précises.
France. Impasse politique après les élections législatives
En France, il y a une impasse politique après les élections législatives au cours desquelles la coalition présidentielle Juntos a perdu sa majorité absolue à l’Assemblée nationale. Le président Emmanuel Macron a entamé mardi des pourparlers avec les chefs de l’opposition pour obtenir une majorité à la chambre basse du parlement. Lors des consultations, le président devait proposer à l’opposition la création d’un « gouvernement d’union nationale » impliquant tous les partis sauf les nationalistes.
Nous sommes prêts à cela s’il s’agit d’un programme ambitieux. J’ai dit au président que la confiance du public en lui était si faible qu’il semblait impossible
– a expliqué le chef des communistes, Fabien Roussel.
D’autres politiciens de la coalition présidentielle ont appelé à une alliance avec les républicains de centre-droit. – Nous sommes dans une situation inédite où nous devons former une grande coalition avec des gens qui ne veulent pas coopérer entre eux pour le moment – a lancé un appel à l’ancien Premier ministre Édouard Philippe.
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Le Conseil républicain a rejeté la proposition, mais les avis au sein du parti sont partagés.
Tôt ou tard, il sera temps d’envisager de retourner aux urnes. Nous ne trouverons pas de solution permanente à la situation
– a fait valoir à son tour l’un des leaders de la gauche, Manuel Bompard.
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