Le tueur de serpents Charles Soubrague revient en France après près de deux décennies

Le meurtrier condamné Charles Sobhrage est arrivé en France après avoir été libéré de prison au Népal.

Le tueur en série connu sous le nom de « Le Serpent », qui aurait assassiné plus de 20 routards occidentaux lors d’un « procès hippie » en Asie dans les années 1970 et 1980, est arrivé à Paris.

Après près de vingt ans derrière les barreaux d’une prison népalaise, un ressortissant français a atterri à l’aéroport Charles de Gaulle peu après 7 heures du matin le 24 décembre.

Selon Moi, le Serpent (Moi, le serpent) auteur Jean-Charles Deniot, Sobraj a été accueilli par son avocat au terminal à son arrivée.

« Il va bien, c’est un homme libre », a déclaré l’avocate de Sobhraj, Isabelle Coutant-Pierre.

Interrogée sur les prochaines étapes, elle a déclaré : « Il va déposer une plainte légale contre le Népal parce que toute l’affaire contre lui est fabriquée de toutes pièces.

Elle l’a décrit comme résilient et « optimiste ».

il avait 78 ans Il purge deux peines à perpétuité Ils ont été arrêtés au Népal pour les meurtres en 1975 de Connie Jo Brunsich et Laurent Carrier mais sont soupçonnés d’autres meurtres, notamment en Thaïlande, où les corps de six femmes ont été retrouvés sur une plage près de la station balnéaire de Pattaya dans les années 1970, selon à la police.

Voir plus d’informations :
Le Serpent : L’histoire de Charles Sobrague, le vrai tueur du Hippie Trail
L’assassin français Charles Soubrage sort de prison au Népal

Citant son âge avancé et sa santé, la Cour suprême du Népal a ordonné la libération de Sobhraj, Aussi connu sous le nom de « tueur de bikini ».

Il a été libéré de la prison centrale de Katmandou vendredi dans un convoi de police à sécurité maximale vers le département de l’immigration après avoir purgé plus de 75% de sa peine.

Lors du vol en provenance du Népal, il a déclaré à l’Agence France-Presse qu’il n’était pas coupable d’avoir tué Brunsic et Carrere.
Et que le procès contre lui était basé sur de faux documents.

« J’ai beaucoup à faire. Je dois traiter beaucoup de monde », a déclaré Sobhraj à l’AFP.

Photographier:
Vue générale de la prison centrale

Sobhraj a été décrit par ses collègues comme un fraudeur, un séducteur et un meurtrier.

Les ministères français de la justice n’ont pas répondu aux questions sur la possibilité pour Sobhraj de faire face à des poursuites pénales en France. Le délai de prescription pour les crimes les plus graves en France est de 20 ans.

Henri Jordan

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