Le gardien de l’équipe nationale du Honduras, Edrick Menjivar, est devenu un exemple du fait que malgré deux cartons jaunes en un seul match, il pouvait toujours être sur le terrain. Pourquoi est-ce arrivé ?
Le match retour des quarts de finale de la Ligue des Nations de la CONCACAF entre le Mexique et le Honduras a été très dramatique. Cerise sur le gâteau, une situation très inhabituelle avec des joueurs avertis par des pénalités individuelles.
Menjívar, un joueur de terrain qui joue sur son CD Olimpia, a été inclus comme objet expérimental. L’arbitre salvadorien Ivan Cisneros lui a montré deux cartons jaunes, mais il n’a pas pu l’envoyer plus tôt aux vestiaires.
Avons-nous commis une erreur ou enfreint les règles ? Aucune de ces choses.
Le point culminant est survenu lors des tirs au but qui ont décidé quelle équipe participerait au Final Four de la Ligue des Nations de la CONCACAF.
C’est dans la partie décisive du match que le gardien a reçu un deuxième carton jaune pour avoir sauté à plusieurs reprises de la ligne de but. Il avait déjà été pénalisé pour avoir retardé le match à la 86e minute.
Dans des circonstances normales, l’arbitre n’aurait d’autre choix que d’exclure le concurrent de la compétition. Mais dans ce cas-ci, il y avait une exception à la règle.
Conformément aux règles fixées par l’International Football Association Board (IFAB), les cartons jaunes distribués lors d’un match pour prolongation (y compris les prolongations) ne comptent pas/sont annulés au début de la compétition avec chacun.
La situation serait différente si le gardien voyait un carton rouge direct. Un tel joueur ne peut alors pas continuer le jeu, mais l’équipe adverse souffre également car elle doit retirer l’un des joueurs essayant de frapper la balle debout afin de maintenir l’équilibre numérique.
Finalement, les Mexicains l’ont emporté, rattrapant leur défaite de deux buts du premier match.
« Pionnier d’Internet. Faiseur de troubles. Amateur passionné d’alcool. Défenseur de la bière. Ninja zombie. »