« Le ministère biélorusse des Affaires étrangères a exigé que l’ambassadeur parte avant le 18 octobre », a indiqué le porte-parole de l’ambassade de France à Minsk, cité par l’AFP. Il a ajouté que le diplomate avait déjà quitté la Biélorussie et a dit au revoir au personnel de l’établissement.
Il s’agit d’un énième diplomate d’un État membre de l’Union européenne qui a été contraint par le régime de quitter Minsk, a commenté sur Twitter Franak Viachorka, conseiller aux affaires internationales de la chef de l’opposition démocratique en Biélorussie, Sviatlana Tsikhanouskaya.
«L’ambassadeur n’a pas présenté les lettres de créance de Loukachenko et a parlé haut et fort de violations des droits de l’homme. Cher ambassadeur, merci pour votre solidarité et votre fidélité aux principes », a écrit Viachorka.
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