L’affaire – connue sous le nom d' »affaire Paul Bismuth », « Sarkozy-Azibert » et qualifiée par les proches de Nicolas Sarkozy de « scandale du piratage téléphonique » – a éclaté en 2014. Le chemin vers un verdict final a été long, mais pas particulièrement semé d’embûches pour le ancien président, qui jouissait de la liberté. Et à chaque partie du procès, il a effectué une tournée médiatique très suivie pour attirer l’attention du public sur la détermination exceptionnelle de la justice à prouver sa prétendue culpabilité, selon lui. Mais peu croyaient qu’il était victime d’une chasse aux sorcières (lire : un ancien président qui avait des démêlés avec la justice et qui est facile à tabasser car, on le sait, les gens aiment lui donner des coups de pied quand il ment).
Au début c’était le téléphone
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