Les divorces soutiennent mieux la démographie que les mariages

Plus il y a de ruptures et de relations informelles, plus il est facile de remplacer les générations – selon une étude

Les pays où le mariage n’est pas une priorité et où les taux de divorce sont élevés ont tendance à avoir des taux de fécondité plus élevés. Les pays où prédomine l’approche familiale traditionnelle connaissent des problèmes démographiques. La plupart des enfants naissent en France libérale et en Suède. Telles sont les conclusions de l’étude « Déterminants du comportement procréateur » du Prof. Irena Kotowska de SGH.

La Pologne est un cas qui confirme cette thèse. Même si nous divorçons de plus en plus fréquemment, nous restons traditionnels à cet égard par rapport au reste de l’Europe. Et notre taux de fécondité est très faible : c’est ici qu’il y a le moins d’enfants qui naissent en Europe.

À son tour, en Suède, où le nombre de couples divorcés – selon les données fournies par le prof. Kotowska – atteint l’un des indicateurs les plus élevés, il existe une chance de maintenir le remplacement des générations. Une approche libérale est également visible en France, en Belgique et aux Pays-Bas. Ici, les couples décident d’avoir des enfants beaucoup plus souvent que dans l’Europe traditionnelle.

Henri Jordan

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